« Je recommande l’agence ComOnLight à toutes personnes en recherche d’une communication sérieuse et lumineuse pour son entreprise. »
ENJEU
De 2007 à 2016, nous avons accompagné le Domaine Montirius dans l’élaboration et la mise en oeuvre de sa stratégie de communication. Identité, reportages photos, création d’un premier puis d’un second site web, référencement, rédaction et mise en page d’une newsletter, community management… Nous avons beaucoup apprécié travailler durant ces années aux côtés des deux générations de la famille Saurel pour promouvoir ce domaine viticole engagé, aujourd’hui reconnu comme LA référence en biodynamie sur la vallée du Rhône.
RÉALISATION DE REPORTAGES PHOTOS
Avant toute chose, nous avons doté le Domaine Montirius d’une banque d’images professionnelles, en réalisant plusieurs reportages photos à différents moments de l’année, qui nous ont servi ensuite à alimenter les différents supports print et digital du domaine.
RÉDACTION ET MISE EN PAGE DE NEWSLETTERS
Quand on fait le choix de ne travailler qu’avec des clients engagés, on a souvent le plaisir de rencontrer des personnes… qui ont des choses à dire. C’est incontestablement le cas de la famille Saurel, propriétaire du Domaine Montirius.
C’est pourquoi nous lui avons proposé, dès 2010, de créer une newsletter français / anglais, à destination de ses parties prenantes (clients, prospects, importateurs, cavistes, restaurateurs, prescripteurs, etc.). En les rédigeant, nous avons beaucoup appris sur l’art et la manière de produire un bon vin qui respecte la terre, le viticulteur et le consommateur.
STRATÉGIE DIGITALE
En 2007, nous avons créé le premier site Internet de Montirius ; puis, en 2012, le second. L’enjeu était d’être à la fois didactique – ce domaine a beaucoup de choses à dire sur la biodynamie, ses pratiques, ses engagements, les récompenses de ses vins, etc. – et incitatif, voire poétique, en laissant une large place à l’image.
Le webdesign qui en résulte, qui date d’une époque où la résolution des écrans était bien inférieure à celles d’aujourd’hui, a plutôt bien vieilli. Même si la place dévolue au texte et la taille de celui-ci sont datés, la respiration offerte par les images spécifiques en fond de chaque page préfiguraient les mises en page « plein écran » qui apparaîtraient quelques années plus tard.
L’AVIS DU CLIENT
Christine Saurel
